For an assignment in a French writing class a few weeks back, we had to write a quick story using a small bank of words provided in a textbook. I started writing and about three paragraphs in, I went back and reread the instructions -- keep the story 100 words or less. Having written almost three times that, I trimmed my story to fit the assignment.
I revisited the three-paragraph version of the story last week to give it a conclusion. The story is about two friends travelling through Germany. Out of the two, Alice begins to believe she is going crazy as she catches brief glimpses of the same strange clown in each city they visit. Not the most original premise, I know, but I enjoyed writing it. I've hastily titled it "Alice et le clown" ("Alice and the Clown"). I thought about including an English translation but decided against it. So if you can't read French or use Google Translate* you're out of luck.
(I'm sure this thing is rife with errors since my French ain't what it used to be.)
"Alice et le clown"
Nous arrivâmes à la gare de Düsseldorf au départ du dernier train jusqu’au matin. « Zut ! » s’écria Alice, une chère amie avec qui je voyageais depuis une semaine, « Le train est parti ! » Je la rencontrai lors de ma dernière année d’université où j’étudiais la littérature européenne à l’étranger à Londres. Je la vit la première fois à la bibliothèque où elle travaillait et ce fut en m’aidant à trouver un volume rare de Léon Tolstoï que je tombai amoureux avec elle.
Cependant, ces sentiments d’amour n’existaient pas chez elle. Quand même, on s’entendait bien et elle accepta de m’accompagner pendant un voyage de recherche littéraire de deux semaines en Allemagne. Notre premier après-midi à Berlin, en revenant seule d’une sortie pour une tasse de thé, Alice remarqua quelque chose de très bizarre à l’extérieur de notre hôtel : un vieux clown aux cheveux jaunes citron qui portait un habit saumon d’un temps ancien longtemps passé. Quand nous sortîmes ensemble pour dîner le clown n’y était plus.
Deux jours plus tard, Alice le vit entrer un magasin à Hambourg. Curieuse, elle insista que nous le suivions mais dans le magasin on ne trouvait aucun clown. Quand elle l’aperçut à Hanovre le lendemain elle commençait à se croire folle. Et enfin, à Düsseldorf, après l’avoir vu sortir du café où nous terminions le soir, elle demanda en larmes que nous partions pour Paris où habitent ses parents.
Alors, nous sommes seuls au quai de la gare. Des larmes apparaissent aux coins de ses yeux et elles coulent sur ses joues au battement des paupières. Elle se met à grelotter de froid. Je sais qu’elle n’est pas folle mais je n’arrive pas à voir ce qu’elle voit. Je m’approche près d’elle et la serre dans mes bras.
*Unsurprisingly, the Google translation isn't entirely comprehensible but my bad French might be as much to blame for that.
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